Extrait                                                            Une belle-mère encombrante

Durée : 1 h 40 minutes

Janvier 2016

LA TROUPE DU BRIGADIER QUINTIN

EST FIN  PRETE POUR VOUS PRESENTER SA PIECE COMIQUE

"UNE BELLE MERE ENCOMBRANTE"

 précédée  de sketches très drôles

 C'est à la salle de la MJC DE QUINTIN samedi 30 a 20h30 et dimanche 31 a 14h30

"rires assurés"

 

les 26, 27 et 28 novembre par le théâtre RousCène à Montréal (canada)

 

Début 2011

par le théâtre AMIRA d'Ancenis (44)

et par la troupe de la Jumellière (49)

 

Cette pièce a été créée pour la 1ère fois par la troupe de Malicorne (79)

          

les 28 et 29 novembre 2009 et les 31 janvier et 1er février 2010

 

 et simultanément par la troupe "Coup de théâtre" de Saint-Germain des Prés (45) 

du 28 novembre au 19 décembre

 et ensuite par la troupe du PERTRE (35) Affiche

Article Ouest-France

les 30 et 31 janvier et les 5, 6, 13 et 14 février 2010 !

 et la troupe de BERCHEUX (Belgique)

les 13, 14, 20 et 28 février

 J'y étais le 28 février !!

et la troupe de Centre culturel de LAEKEN (Belgique)

en mai 2010

 

L’histoire :

 

Madame Dupontel, qui vient de perdre sa maman dans un accident de voiture,

décide de rapatrier les cendres de cette dernière chez elle. Ce qui ne convient pas

du tout à son mari Yvan. Adèle, la femme de ménage, par maladresse, fait tomber le vase contenant les cendres et passe l’aspirateur.  Par magie, l’aspirateur se met à bouger et parle à Adèle. En fait c’est l’esprit de la défunte qui charge Adèle d’enquêter sur son accident, soupçonnant son gendre d’avoir saboté le véhicule. Un inspecteur, sur les traces de Carlos, complice d’Yvan, arrive chez les Dupontel. Geneviève, diseuse de bonne aventure, voit des choses dans les soit disant cendres de la défunte, éveillant des soupçons sur une vie très perverse de son mari. L’inspecteur, découvrant que la défunte a une sœur jumelle inconnue de tous, va s’en servir pour démasquer Yvan. Et si tout ceci n’était qu’un rêve !

 

Décor :

Salon traditionnel mais assez luxueux. On retrouve sur chaque mur la même photo de la belle-mère disparue.

Les personnages :

Yvan : Apparemment responsable de la mort de sa belle-mère

Catherine : sa femme

Adèle : Femme de ménage, elle aspire les cendres de la mère de Catherine et devient dépendante de son aspirateur

Carlos : Acolyte d’Yvan, en lien avec la mafia.

Geneviève : Liseuse de bonne aventure

L’inspecteur :A la veille de la retraite

Anémone : Sœur jumelle de la belle-mère

Un livreur : (figuration avec 2 ou 3 répliques) il apporte les cendres

L’aspirateur : Voix off féminine (haut-parleur fonctionnant avec des lumières synchro)

Extrait

ACTE 1

Scène 1

(Yvan, Catherine, Adèle, le livreur)

                (Le salon est vide. Le téléphone sonne et au bout de quelques instants, Yvan arrive de l’extérieur, défait son manteau et l’accroche sur le porte manteau)

Yvan : Allo ! (il aperçoit la photo de da belle-mère décédée  sur le mur avec un effet de surprise) Ah, c’est toi Nicolas ! (silence) Oui, je te remercie ! (silence) Catherine  ça va, enfin c’est un peu dur pour elle … c’était tout de même ….(apercevant les autres photos) euh, non je dirais, c’est même très dur pour elle ! (silence) Un virage, tu sais ma belle-mère a eu son permis de conduire, mais comme on dit elle avait certainement du l’avoir dans un paquet de lessive. (Silence) Oh tu sais très bien, qu’entre elle et moi ça n’a jamais marché. Elle ne pouvait pas me sacquer, je ne pouvais pas la sacquer,  en clair nous ne pouvions pas nous sacquer. Catherine ? …….. qu’est-ce que tu veux, c’était quand même sa mère. (Silence) (il raccroche) Catherine ! Catherine ! (Catherine arrive, descendant l’escalier)

Catherine : Ah, tu es déjà arrivé ? (elle l’embrasse)

Yvan : Tu n’as pas entendu le téléphone sonner ?

Catherine : Non, je me séchais les cheveux !

Yvan : Ah ! Tu te séchais les cheveux, d’accord mais par contre,  (désignant les photos) tu peux me dire ce que c’est que tout ça ?

Catherine : Voyons chéri, ça comme tu dis, c’est maman, c’est tout !

Yvan : Une seule photo n’aurait pas pu suffire ?

Catherine : C’est maman,  elle n’est plus là, alors je veux qu’elle soit présente par ses photos … c’est tout !

Yvan : Bon sang, tu connaissais les relations qui existaient entre ta mère et moi, je conçois que tu sois très perturbée mais je te rappelle que je n’aimais pas ta mère et d’ailleurs personne n’aimait ta mère.

Catherine : Si moi !

Yvan : Evidemment, mais ça fait peu compte tenu de tous les gens qu’elle fréquentait. Franchement, une photo sur chaque mur. Pendant que tu y es, placardes-en aussi dans notre chambre ! (elle le regarde d’un air coupable). Non, ne me dis pas que …. (Il se précipite dans les escaliers. De la chambre). Ah non ! (Il redescend) Tu vas m’enlever toutes ces photos immédiatement !

Catherine : Non !

Yvan : (surpris) Comment ça non ?

Catherine : Je te signale que maman  nous a laissé une jolie fortune,  je me demande d’ailleurs comment elle ne t’a pas déshérité dans son testament.

Yvan : J’en suis moi-même fort étonné. Finalement, elle avait peut-être une estime que je n’ai jamais remarqué !

Catherine : Tu rêves ! Alors, je pense que rien que pour cette raison, tu n’auras pas d’autre choix que de supporter le regard de maman dans toutes les pièces de cette maison.

Yvan : En fait, j’ai compris, quand j’en aurai marre,  j’irai aux toilettes ou dans la salle de bain. (Rires de Catherine, il réagit) Non, non et non, pas dans la salle de bain. Tu m’imagines tout nu, devant  le regard de ta mère. Tu me diras, il reste encore les toilettes (rires, Yvan s’emporte)

Catherine : Mais ce n’est qu’une photo ! (Elle regarde sa montre)

Yvan : Et dans la chambre, et notre intimité alors !

Catherine : Ne t’en fais pas, au cas où, je retournerai les cadres. Et puis (rires moqueurs) ce n’est pas tous les jours que ….

Yvan : (en aparté) Même disparue, elle continuera à m’emmerder!

Catherine : Tu dis chéri ?

Yvan : Rien ! Tu as vu Adèle ?

Catherine : Non, ce matin, elle est encore en retard (elle consulte ta montre) !

Yvan: A son prochain retard, elle aura droit à aller pointer à l’anpe, et arrête de regarder ta montre, ce n’est pas ça qui la fera venir plus vite ! (elle s’impatiente, ouvre la porte d’entrée pour surveiller l’arrivée de quelqu’un. Pendant ce temps, Yvan se sert un verre et s’approche d’une photo de sa belle-mère) Décidément, même là-haut, vous allez continuer à m’emmerder ! (lorsqu’il se retourne, le visage de la photo change avec la langue tirée) Franchement si vous continuez à ….. (Il revient devant la photo, aperçoit le changement, et recrache son verre) Catherine ! (elle revient)

Catherine : Tu m’as demandé chéri ?

Yvan : D’accord, tu voulais des photos de ta mère partout dans la maison, j’admets difficilement mais bon … mais ta mère en train de me tirer la langue, ça c’est trop !

Catherine : Comment çà ?

Yvan : Vois ça ! (la photo est revenue comme au début)

Catherine : Voyons chéri, que me chantes-tu là ?

Yvan : (qui ne comprend pas) Je ……je pense que ta mère, même plus de ce monde, est déjà en train de me faire péter les boulons !

Catherine : C’est ça, c’est ça ! (on sonne)

Yvan : Tiens,  voilà Adèle !

Catherine : Ça m’étonnerait, tu l’as déjà vu sonner !

Yvan : Tu as raison, alors c’est qui ? (elle va ouvrir. Un homme entre avec un paquet)

Le livreur : Bonjour Madame, vous êtes bien Madame Dupontel ?

Catherine : Exactement, vous avez un peu de retard ?

Le livreur : Excusez-moi madame, mais pour ce genre de livraison, je ne vous explique pas les paperasseries. (Il lui donne le paquet)

Catherine : Merci ! (elle porte le colis sur son cœur) Je vous dois combien ?

Le livreur : Six mille huit cents euros ! (Yvan s’interroge)

Catherine : Chéri, tu peux faire le chèque ?

Yvan : Excuse-moi, mais je peux savoir de quoi il s’agit, je pense que pour un montant pareil, j’ai le droit de savoir !

Catherine : Mais c’est une surprise !

Yvan : Une surprise pour qui ?

Catherine : Pour toi mon chéri !

Yvan : J’adore les surprises mais pour cette somme là, j’ai un mauvais pressentiment. (Pendant qu’il fait le chèque, Elle regarde avec affection  les photos de sa mère. Yvan  donne le chèque au livreur)

Le livreur : Messieurs dames ! (il sort)

Catherine : (s’asseyant sur le canapé) Bon, puisque c’est ta surprise, tu pourrais défaire le paquet. Attention, il y a un haut sur le paquet.

Yvan : Je te sens bien sûre de toi ! (il défait le paquet et en sort un vase) C’est ça la surprise, tu parles !

Catherine : Attention de ne pas le renverser !

Yvan : Qu’est-ce que tu veux qu’il y ait dedans. Un vase, tu parles d’une surprise, en plus il est assez banal !

Catherine : Ah, tu le trouves banal ?

Yvan : Et bien oui, banal de chez banal ! (réagissant) ne me dis pas que c’est ce vase que tu as payé plus de six milles euros !

Catherine : Eh bien si !

Yvan : Je peux comprendre ?

Catherine : Dans ce vase, en fait ce n’est pas un vase mais une urne, il y a quelque chose qui m’est très très cher. (Réagissant au bout de quelque temps)

Yvan : Non, ne me dis pas que ….. !

Catherine : Si, mon chéri, maman est dans cette urne, enfin je veux dire ses cendres sont dans cette urne !

Yvan : (excité) Ah non, trop, c’est trop, les photos, les cendres…et tu veux les mettre où, ces cendres ?

Catherine : Ici, sur la télé !

Yvan : Non, non et non, à chaque fois que je vais regarder la télé, je …..il va falloir que tu choisisses, ta mère ou moi !

Catherine : J’ai déjà choisi ! (Adèle entre) Ah, c’est vous. Vous avez vu l’heure ?

Adèle : Que madame et monsieur m’excusent, (apercevant les photos)  j’ai été malade toute la nuit et je n’ai pas fermé l’œil ! (Catherine passe le doigt sur un meuble) Je sais madame, y’a du boulot ! Je m’y mets tout de suite !

Catherine : J’y compte bien ! Quant à nous, mon chéri, si tu veux bien, nous allons continuer notre conversation ailleurs ! (ils sortent)

Adèle : (les regardant partir) A ce que je vois, y’a encore des choses que je ne dois pas entendre ! (Catherine réapparaît)

Catherine : J’avais oublié,  je vais vous demander de prendre un grand soin de ce vase !

Adèle : Encore un truc nouveau, décidément chez vous, vous aimez le changement. Vous avez du le payer cher ?

Catherine : Cela ne vous regarde pas, mais je puis vous assurer que sa valeur est inestimable et surtout sentimentale ! Avec mon mari, nous avons rendez-vous chez notre notaire, nous ne serons pas de retour avant une bonne heure (elle sort)

Adèle : (prenant le vase) Tu parles d’une mocheté ! (regardant les photos) Et puis, l’autre là ! Une photo sur chaque mur, elle va me donner le bourdon de bonne heure ! (elle pose le vase sur la table de salon et prend l’aspirateur. S’adressant aux photos) Bon c’est pas la peine de me regarder comme ça, je vais le faire le ménage ! (en aparté) bon sang, c’est quand même pas des photos qui vont me gâcher la journée ! Et faîtes-moi ci et faîtes moi-ça, ah  ça, ça  marchait ! En tout cas, vous, (regardant la photo) c’est pas le boulot qui vous aura fait clamser ! (en se retournant, elle fait tomber le vase avec le manche de l’aspirateur) eh merde, ça commence bien ! (le couvercle s’étant défait, les cendres se sont éparpillées sur le tapis) Le tapis, bon sang, le tapis, j’ai intérêt de le nettoyer avant  le retour de la patronne. (Elle met l’aspirateur en route) Bon sang, je sais pas ce que c’est mais bon diou c’est coriace, (elle frotte) mais c’est que ça tacherait cette saloperie ! (elle insiste) Voila, ça y est, bon sang quelle saloperie ! (à une photo) Bon ça va, ça va, c’est pas à vous que je disais ça ! (baillant) C’est pas vrai,  j’ai à peine commencé à bosser que je suis déjà crevée ! Je vais m’assoir cinq minutes pis on verra (elle s’assoit sur le canapé, baille de plus en plus et finit par s’endormir. A un moment, des éclairs éclatent, signifiant le début d’un rêve. Au bout de quelques secondes, l’aspirateur* se déplace vers Adèle. Le tuyau se relève derrière le canapé)

Scène 2

(L’aspirateur, Adèle, Catherine, Yvan)

L’aspirateur : Alors la feignasse, c’est comme ça que vous travaillez ? (pas de réponse. La voix se fait plus forte) Allez, on se remue un peu,  la technicienne de surface ! (Adèle commence à se réveiller)

Adèle : Qu’est-ce que c’est,  je rêve, on aurait dit  la voix de cette satanée ….

L’aspirateur : Attention à ce que vous allez dire ! (Adèle se réveille)

Adèle : Qu’est-ce que c’est que ce délire, je ne m’appelle pourtant pas Jeanne D’Arc. (L’aspirateur bouge et murmure)  c’est pas vrai, un aspirateur qui parle ! Vous dîtes quoi monsieur l’aspirateur ?

L’aspirateur : Prenez l’écouteur !

Adèle : L’écouteur ? (réagissant et prenant le balai de l’aspirateur pour l’écouteur) Ah c’est un marrant, cet aspirateur, moi qui voulait le changer !

L’aspirateur : Ecoutez, je vais vous charger d’une mission ! (Yvan et Catherine entrent sans qu’Adèle ne s’en aperçoive)

Adèle : Une mission, quelle mission ? (pas de réponse) Allo, allo ! (Yvan et Catherine apparaissent devant Adèle, hébétée)  Euh, ils …. Ils ont raccroché, ça devait sûrement être une erreur ! (elle pose doucement le tuyau par terre)

Catherine : (surprise, jetant un regard à Yvan) Bon écoutez Adéle, si vraiment ça ne va pas, retournez chez vous pour vous reposer. Nous allons nous arranger, vous passez une bonne nuit et nous verrons demain !

Yvan : (en aparté)  Moi, ce que je pense, c’est qu’il faudrait la faire interner, son cas est désespéré !

Adèle : Ecoutez, je suis fatiguée, c’est vrai, mais je ne suis pas folle. Ce que je vais vous demander, c’est tout simplement de m’autoriser à faire une sieste pendant une heure et ce soir, je reste une heure de plus, c’est tout !

Catherine : Qu’est-ce que tu en penses Chéri ?

Yvan : De toute façon, quoique j’en pense, tu n’en tiendras pas compte !

Catherine : Tu as raison, (à Adèle) Bon, nous sommes d’accord. Nous vous laissons ! (ils sortent)

Adèle : (regardant sa montre) Tu parles, à cette heure là, je sais où ils vont …au pieu. Il va encore falloir je passe l’aspirateur pour pas entendre leur concert de ahhhhhhhhhh, ohhhhhhhh, encoooooooooooore, oh ouiiiiiiii !!. Je vous jure, ces Bourgeois, c’est comme les cochons plus ça devient …….

L’aspirateur : Taisez-vous, vous allez encore dire des âneries !

Scène 3

(Adèle, l’aspirateur)

Adèle : Ah merde, j’avais oublié mon copain l’aspirateur !  En fait, grâce à vous j’ai passé pour une conne !

L’aspirateur : Qu’est-ce que ça change ? Et puis, il faut vous méfier, il n’y a que vous qui puissiez m’entendre !

Adèle : (les mains sur les hanches) Ah ouais, et pourquoi ça ?

L’aspirateur : C’est vous qui m’avez libérée de ce vase horrible. Alors, pour vous remercier je vous ai donné le pouvoir de m’entendre !

Adèle : Tu parles d’un remerciement ! (elle réagit) Quoi, vous êtes la……

L’aspirateur : Attention à ce que vous allez dire !

Adèle : Euh …… vous êtes ….. nom de dieu ! Vous êtes la ….

L’aspirateur : La chère belle-mère, c’est ça et comme je viens de vous le dire, vous m’avez libérée de cet horrible vase et je vous en remercie !

Adèle : Me remercier, ça alors ! C’est bien la première fois que vous me remerciez de quelque chose ! Si j’avais su qu’il fallait attendre que vous soyez ad  patres pour que vous puissiez me remercier, il y a belle lurette que je vous  aurais trucidée.

L’aspirateur : Justement, parlons-en !

Adèle : De quoi ?

L’aspirateur : De l’accident !

Adèle : Ben quoi l’accident, tout le monde savait que vous conduisiez comme une savate alors personne a été surpris !

L’aspirateur : Faux !

Adèle : Quoi faux !

L’aspirateur : Ce n’était pas un accident, ma direction avait été sciée.

Adèle : Quoi, vous êtes sûre ?

L’aspirateur : Pas vraiment, mais c’est justement vous qui allez enquêter pour le confirmer. Et je suis sûre que mon abruti de gendre y est pour quelque chose !

Adèle : Je suis désolée mais c’est votre problème, je ne marche pas. C’est quand même pas un aspirateur qui va me donner des ordres !

L’aspirateur : Dîtes-moi, Adèle, vous aimez dormir ?

Adèle : Alors ça, dormir, entre bosser et dormir, j’ai vite fait mon choix ! Mais pourquoi vous me demandez ça ?

L’aspirateur : Tout simplement, parce que si vous ne faîtes pas ce que je vous dis, je vous empêcherai de dormir, vous ne pourrez plus jamais dormir !

Adèle : Vous rigolez ?

L’aspirateur : Vous devriez savoir, que du temps de mon séjour sur terre, la rigolade ça n’était pas ma tasse de thé !

Adèle : C’est le moins qu’on puisse dire ! Bon, c’est d’accord, à partir de maintenant je suis Julie Lescaut (à réactualiser selon les séries télé policières du moment)

L’aspirateur : Bien, je viendrai aux nouvelles de temps en temps ! Attention, je raccroche, ils arrivent ! (l’aspirateur s’éteint)

Adèle : Alors là, c’est la meilleure,  me voila obligée de jouer les Colombo pour une vieillerie d’aspirateur ! (Catherine et Yvan arrivent)

Vous pouvez me demander l'intégrale !                                                                Haut de page